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            "subtitle": "<strong>Une équipe de physiciens de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) est parvenue, en collaboration avec les Universités de Lausanne et de Bath (GB), à renverser le modèle admis généralement de la structure d'hydratation du cuivre. Publiés par la revue &quot;Science&quot;, leurs résultats facilitent la compréhension du comportement de l'atome de cuivre lors de diverses réactions chimiques.</strong>",
            "text": "<p>Durant longtemps, les chimistes ont supposé que l'atome de cuivre à deux électrons manquants (ion Cu2+) attirait six molécules d'eau (H2O) selon un arrangement octaédrique déformé. Si les résultats des mesures des distances équatoriales entre les liaisons Cu-O étaient constants, les résultats pour les distances axiales présentaient d'importantes variations.</p> <p>L'équipe de l'Institut romand de recherche numérique en physique des matériaux (IRRMA-EPFL), dirigée par le professeur Alfredo Pasquarello, s'est penchée sur la structure de la première sphère d'hydratation du ion de cuivre Cu2+. Elle a eu recours à la simulation numérique. De très puissants logiciels appliquant la dynamique moléculaire basée sur les principes de la mécanique quantique ont tourné sur les ordinateurs du Centre suisse de calcul scientifique (CSCS) de Manno (TI).</p> <p>Ces simulations ont amené à reconsidérer l'arrangement des molécules d'eau autour du ion Cu2+.Les résultats ont montré que le ion Cu2+ était entouré de cinq molécules d'eau au lieu de six. L'arrangement de cette première couche d'hydratation subit des transformations très fréquentes entre des configurations pyramidales à base carrée et bipyramidales trigonales. Le passage entre ces deux états est extrêmement rapide puisqu'il se produit en un temps de quelques picosecondes.</p> <p>Ces conclusions se sont avérées compatibles avec les mesures de diffraction de neutrons effectuées par l'équipe du Dr. Philip S. Salmon, du Département de physique à l'Université de Bath, et avec les mesures par résonance magnétique nucléaire (RMN) de l'équipe du professeur André Merbach, de l'Institut de chimie minérale et analytique de l'Université de Lausanne.</p> <p>Outre la démonstration de la puissance des techniques de simulation et d'expérimentation, ces travaux améliorent la connaissance de l'organisation de l'eau autour du ion de cuivre Cu2+. Ils contribuent à une compréhension toujours plus approfondie de cet élément qui est l'un des métaux de transition les plus abondants en biologie. Ces résultats ont été publiés le 2 février 2001 par la revue américaine &quot;Science&quot; sous le titre &quot;First Solvation Shell of the Cu(II) Aqua Ion: Evidence for Fivefold Coordination&quot;.</p>",
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            "title": "L'EPFL capitale du climat et du développement durable",
            "subtitle": "<strong>Depuis dimanche et jusqu'à mercredi 17 janvier, quelque 350 scientifiques débattent à Lausanne du climat et du développement durable. Ils sont les hôtes du symposium annuel de l'Alliance pour une durabilité globale (AGS), à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, promue pour quatre jours capitale du climat et du développement durable.</strong>",
            "text": "<p>Ce 6e symposium a été placé sous le thème &quot;Créer l'avenir: des outils pour un développement durable&quot;. Des invités prestigieux ont fait le déplacement sur les bords du Léman, parmi lesquels les professeurs Charles M. Vest, Shigehiko Hasumi et Olaf Kubler, présidents du Massachusetts Institute of Technology de Boston, de l'Université de Tokyo et de l'EPF Zurich, respectivement. En provenance du MIT également, le professeur Mario J. Molina, Prix Nobel de chimie 1995 avec les professeurs F. S. Rowland et P. Crutzen pour ses travaux sur l'influence des gaz CFC sur la couche d'ozone stratosphérique.</p> <p>Quatre sessions d'une demi-journée sont consacrées à quatre thèmes spécifiques. Elles sont complétées par des ateliers et des présentations.</p> <p>- &quot;La gestion des mégapoles – Relations entre l'urbain et le global&quot; : Opportunités et contraintes dans la planification du futur dans les mégapoles. Déplacements humains et mobilité. Flux de marchandises. Institutions et politiques pour la gestion des mégapoles.</p> <p>- &quot;Les technologies émergentes – Critères pour le changement&quot; : Technologies émergentes et développement durable. Objectifs à long terme dans une économie à court terme. La compréhension des besoins sociétaux.</p> <p>- &quot;L'eau et la nourriture pour le futur&quot; : Répondre aux besoins en eau et nourriture au XXIe siècle. Eau, agriculture et développement durable. De l'eau potable pour tous.</p> <p>- &quot;Un futur pour le climat&quot; : Le programme commun AGS/ABB en Chine.</p> <p><br /> Des conclusions et un agenda de recherches pour le XXIe siècle mettront un terme à ce symposium.</p> <p></p> <p><br /> L'AGS a été fondée en 1996 par l'Université de Tokyo, le MIT et les EPF de Zurich et Lausanne. Elle a pour objectif de relever les défis scientifiques liés au développement durable. L'AGS est basée sur trois principes de base :</p> <p>- Une science et une technologie de haute qualité constitueront des facteurs critiques pour trouver des solutions à de nombreux problèmes environnementaux.</p> <p>- Les problèmes complexes ne peuvent être résolus que par une approche pluridisciplinaire.</p> <p>- Un problème global nécessite une coopération globale.</p>",
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            "subtitle": "<strong>Mardi 21 novembre, l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) et Hewlett Packard (HP) ont dressé le bilan de la collaboration initiée en 1997. Six thèses menées dans ce cadre ont été présentées. Ces travaux, qui contribuent à améliorer les produits multimédias d’HP et étendent les compétences de l’école, démontrent le caractère fructueux de ce partenariat exemplaire.</strong>",
            "text": "<p>Dans son introduction, le Président de l’EPFL Patrick Aebischer a souligné la volonté de l’école de tenir son rang de pôle national dans les technologies de l’information. Les effectifs des étudiants, les recherches en cours et à venir, le projet e-pfl et la construction d’un nouveau bâtiment sont autant d’indices témoignant de l’importance grandissante de ce domaine.</p> <p>Présentant les travaux des six thésards, le professeur Murat Kunt, directeur du Laboratoire de traitement des signaux (LTS), a remercié HP pour les moyens considérables - près de 9 millions de francs sur cinq ans - mis à disposition et pour la qualité des problèmes soumis. Ces derniers permettent non seulement d’améliorer les performances des produits multimédias d’HP, mais aussi d’élargir l’expertise de l’école.</p> <p>La grande force de la recherche académique est de produire des solutions générales, applicables à d’autres domaines, alors que l’industrie tend parfois à se focaliser sur la résolution de ses problèmes propres. En élaborant des modèles théoriques qui sont appliqués ensuite à la résolution d’un problème pratique, les six thèses présentées sont exemplaires d’une démarche académique et pragmatique. Ces travaux portent sur la mesure et l’amélioration des images, la compression des images, l’estimation du mouvement dans les séquences et l’exploitation du parallélisme dans les PC pour les applications multimédias.</p> <p>Selon le professeur Murat Kunt, une telle collaboration industrielle n’entrave en rien la liberté académique. Les six thésards ont pu concilier les exigences d’HP et celles d’un travail de valeur académique. En outre, cette coopération a fortement accru la visibilité du LTS, comme en témoignent les nombreuses demandes en provenance des Etats-Unis.</p>",
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            "subtitle": "<strong>Pour la première fois dans son histoire, l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne dépasse nettement le cap des 5000 étudiants. Et plus de la moitié des 1232 nouveaux étudiants de la rentrée 2000 (+ 13 %) ont rejoint le domaine des technologies de l’information et de la microtechnique .</strong>",
            "text": "<p>5170 étudiants fréquentent actuellement l’EPFL, un chiffre qui inclut tous les cycles d’études menant au diplôme, au doctorat ou au diplôme d’études postgrades. Il convient aussi de relever que le nombre d’étudiants a augmenté de 25 % en cinq ans.</p> <p>L’accroissement du nombre des étudiants est dû à une hausse constante des effectifs en première année : 1232 étudiants ont choisi l'EPFL cet automne, contre 1090 il y a un an (+ 13 %). Les sections d'informatique (220), de systèmes de communication (214) et de microtechnique (211) ont été plébiscitées par les nouveaux venus. Leur attractivité a compensé la stagnation, voire le recul constatés dans certains autres domaines</p> <p><strong>Jeunes filles aussi en augmentation </strong></p> <p>Toutes sections confondues, le nombre d'étudiantes de première année augmente également, passant de 196 il y a un an à 227 aujourd'hui. Leur proportion atteint 15,4 %. L'architecture (45%), le génie rural et environnement (27%), le génie civil (35%), et les mathématiques (25%) sont leurs branches de prédilection. Mais nul doute que les réflexions sur l’avenir de l’EPFL, entre autres dans les domaines de l’environnement naturel et construit ainsi que dans celui des sciences et techniques du vivant devraient intéresser un nombre croissant de jeunes filles dans les années futures.</p> <p><strong>Une EPFL toujours plus internationale</strong></p> <p>La renommée de l'EPFL dépasse largement les frontières romandes et suisses. 650 étudiants (20 % des étudiants domiciliés en Suisse) n'hésitent pas à franchir la Sarine pour suivre ses cours. Les étrangers représentent aussi un contingent important de 1816 jeunes filles et jeunes gens. Ils proviennent de 106 pays différents : France (565), Allemagne (116), Italie (95), Maroc (87), Espagne (62), Tunisie (58), Algérie (50), Luxembourg (47), Chine (42), notamment.</p>",
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            "text": "<p>Le jury a attribué le Prix européen aux cellules nanocristallines à colorant du Prof. Michael Graetzel. Il a souligné &quot;la simplicité de leur fabrication, leur faible coût et excellent rendement&quot;. Le Prix européen récompense une invention constituant un saut technologique.</p> <p>Le Prix du Jury a été décerné à M. Bernard Spinner, du CNRS IMP de Perpignan (F), pour son procédé de production du froid sans électricité. Le Grand Prix a été attribué à M. Carlo Rubbia, du CERN à Genève, pour son amplificateur d'énergie. La cérémonie de proclamation et de remise des prix s'est déroulée en présence de membres des autorités monégasques et européennes, ainsi que des milieux scientifiques et industriels. Le Prof. Marcel Jufer, Vice-Président de la Formation, représentait l'EPFL.</p> <p>Attribués chaque année depuis 1994 à l'initiative des autorités de la Principauté monégasque, les Grands Prix européens de l'innovation et des technologies nouvelles ont pour but la promotion de l'industrie et de la recherche appliquée européenne. Le thème de l'édition 2000 était &quot;Les énergies et leurs applications&quot;.</p>",
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            "subtitle": "<strong>Le Laboratoire de sécurité et de cryptographie (LASEC) de l'EPFL a mis en évidence une faiblesse du protocole SSL, utilisé pour sécuriser les transactions électroniques sur Internet. Relativement faible en soi, la possibilité d'accéder à une partie du message en clair croît en fonction de la taille du texte.</strong>",
            "text": "<p>L'équipe du professeur Serge Vaudenay est parvenue, en quatre mois, à mettre au point un mode d'attaque mettant en évidence une faiblesse du protocole de cryptage SSL. L'attaque permet de rétablir deux segments du texte original, à condition que le texte soit d'une taille suffisante et soit rédigé dans une langue redondante comme l'anglais.</p> <p>L'attaque est efficace également contre le protocole S/MIME de cryptage des e-mails et contre tous les procédés recourant au chiffrage par block en mode CBC. Elle peut être menée à partir d'un ordinateur personnel ordinaire et nécessite moins d'une heure d'opérations pour un message d'1 gigabits.</p> <p>Ce succès du LASEC démontre les faiblesses des méthodes crytpographiques utilisées dans les protocles usuels, indique Serge Vaudenay. La probabilité d'accéder à une partie du message en clair est relativement faible mais elle existe. Elle n'est pas dramatique en soi dans l'état actuel des choses, mais pourrait le devenir, ajoute le professeur</p> <p>A l'occasion de la Journée annuelle de recherche du Département des systèmes de communication (DSC), le LASEC invite la presse à assister à une démonstration d'attaque contre un protocole de cryptographie le mercredi 5 juillet entre 14 h. et 17 h. Les journalistes intéressés sont priés de s'inscrire auprès du professeur Vaudenay (tél. ci-dessous).</p>",
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            "title": "Champ magnétique: des effets biologiques confirmés",
            "subtitle": "<strong>Depuis longtemps, on soupçonne les champs électriques et magnétiques d’avoir des effets biologiques sur les êtres vivants, mais aucun des multiples tests conduits jusqu’à présent sur les humains et les animaux n’ont donné de réponse définitive sur la question. C’est la raison pour laquelle les scientifiques de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), de l’Université de Lausanne (UNIL) et du Politecnico di Torino se sont penchés sur un être vivant nettement moins complexe: une petite mousse dont ils connaissent tous les secrets génétiques. La Physcomitrella Patens éclaire la lanterne des chercheurs qui avancent néanmoins avec précaution, se gardant de toutes conclusions hâtives.</strong>",
            "text": "<p>La fée électricité ne fait pas que des heureux. Au voisinage des pylônes à haute tension, des émetteurs TV et radio, des antennes-relais pour téléphones portables, certaines personnes ne se sentent pas à leur aise, craignent pour leur santé ou pour l’environnement ou font état de troubles qu’elles imputent aux installations en question... Est-ce là l’expression d’une peur aussi irrationnelle qu’injustifiée ou les champs électromagnétiques provoquent-ils réellement des effets nocifs sur les êtres vivants? «Un grand nombre de publications ont traité le sujet sans l’épuiser, expliquent en substance les professeurs Jean-Pierre Zrÿd, du Laboratoire de phytogénétique cellulaire de l’Université de Lausanne, et Michel Ianoz, du Laboratoire de réseaux d’énergie électrique (LRE) de l’EPFL. Les expériences menées sur les animaux et sur les humains, tant en laboratoire qu’en conditions de vie réelle, n’ont jamais apporté de preuve définitive, trop de facteurs entrant en jeu pour permettre une évaluation vraiment fiable. C’est pourquoi nous nous sommes tournés vers un organisme nettement plus simple que l’homme et l’animal, un végétal dont les biologistes connaissent la croissance, le comportement et le génome. Bref un organisme modèle.»</p> <p>La piste était d’autant plus intéressante que l’influence des champs sur les végétaux a été peu étudiée jusqu’ici.</p> <p>La Physcomitrella Patens, que l’on retrouve chaque printemps dans les champs cultivés, a changé de logis pour les besoins de l’expérience. Grâce à un soutien pour la recherche obtenu auprès de l’Electricité Romande, des plants de mousse ont été élevés dans des boîtes en plastique et exposés à un champ magnétique à fréquence industrielle, soit 50 Hz, la fréquence de courant que l’on retrouve dans les lignes de transport de l’énergie électrique. «Le champ magnétique, explique le Dr Pierre Zweiacker du LRE, est obtenu par des bobines qui assurent un champ très constant. On les place dans une chambre blindée afin d’éviter tout autre influence externe de champs à plus haute fréquence qui viendrait perturber les résultats de l’expérience. Les plants de mousse sont exposés, toujours sous la même fréquence, à des champs magnétiques de différents niveaux (de 0,6 à 1,2 mT)».</p> <p>Après une année de tests, le comportement des colonies testées est assez clair: les scientifiques ont constaté un arrêt de la croissance de la mousse, mais seulement à partir d’un niveau relativement élevé du champ magnétique, soit 10 fois plus élevé que la limite imposée, pour la population, par l’International Commission for Non Ionizing Radiation Protection (ICNIRP), et fixée à 0,1 mT.<br /> <br /> «Mais on a déjà remarqué, explique le professeur Jean-Pierre Zrÿd, quelques signes de ralentissement de la croissance à un niveau cinq fois supérieur à la norme autorisée pour tout un chacun, soit 0,5 mT, niveau plafond auquel peuvent être exposés les travailleurs dans les réseaux électriques. Des signes qui nous empêchent de parler véritablement d’effet de seuil.»<br /> Les résultats obtenus par les chercheurs grâce à ces essais qui se poursuivent depuis deux ans ont été confirmés par une approche fondée sur les statistiques.</p> <p><strong>Radioactivité et champ magnétique: attention aux confusions!</strong></p> <p>Mais comme en science rien n’est simple, biologistes et ingénieurs s’empressent de préciser que l’on ne peut pas faire d’extrapolation à partir de ces résultats. Autre plante, autres mœurs: les plantules de tabac, traitées au même régime que la mousse du laboratoire, n’ont pas donné de signe de réaction, alors que ces jeunes plantes ont manifesté une grande sensibilité face aux effets résiduels de Tchernobyl. « Cette remarque mérite d’être faite, souligne le Prof. Ianoz, dans la mesure où, dans le grand public, on a tendance à confondre les mécanismes biologiques ionisants et non ionisants. Radioactivité et champs magnétiques ne participent pas du même phénomène : dans le premier cas, il y a libération de protons et cassure d’atomes, dans le second il y a peut-être des effets au niveau cellulaire mais pas d’effets nucléaires.»</p> <p>Quoi qu’il en soit, chers aux poètes surréalistes, les champs magnétiques ne sauraient livrer si aisément leurs secrets. «On constate des effets biologiques sur la mousse, certes, mais on n’en connaît pas les raisons. Nous pouvons mesurer les effets des facteurs qui interviennent, mais nous ne savons pas quels sont ces facteurs. C’est en poursuivant notre étude sur des organismes relativement simples que nous espérons les mettre à jour».</p> <p>Prochain acteur à recevoir les honneurs du laboratoire, le dénommé Caenorhabditis elegans, vermisseau de son état, permettra peut-être de percer plus avant la part d’inconnu qui demeure dans les champs magnétiques, côté effets biologiques.</p>",
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            "text": "<p>On le sait, le don d'organe est un sujet délicat: les donneurs demeurent dramatiquement peu nombreux en regard des besoins. De plus, les transplantations nécessitent des traitements lourds au vu des risques élevés d'infection et des réactions de rejet de l’organisme. Quant aux coûts relatifs à ces interventions, ils sont proportionnels au degré de difficulté qu'elles représentent. D'autre part, le recours à des greffes tissulaires provenant d'autres organes du patient entraîne lui aussi de sévères complications.</p> <p>Dans ce contexte, l'alternative proposée par l'ingénierie tissulaire semble très prometteuse. L'objectif est d'éliminer les effets négatifs des méthodes précitées en privilégiant une approche complètement différente, du &quot;cousu main sur-mesure&quot; en quelque sorte.</p> <p>Parmi d'autres organes internes, la vessie semble se prêter particulièrement bien à l'ingénierie tissulaire, raison pour laquelle le Laboratoire de recherche en urologie et chirurgie pédiatrique du CHUV, sous l'impulsion du PD Dr Peter Frey, en collaboration avec le Prof Jöns Hilborn du Laboratoire des polymères, le Prof Wurm du Laboratoire de biotechnologie cellulaire à l'EPFL et le Prof Horisberger de l'Institut de pharmacologie et toxicologie de l'UNIL. De plus les équipes lausanoises collaborent avec le Docteur Mayer du Laboratoire des materiaux biocompatible de l’ETH Zurich et le Docteur Edelman de l’EMPA de St-Gall.<br /> Ces chercheurs ont réuni leurs compétences pour répondre à un grand défi: remettre à neuf les vessies mal formées ou déficientes à partir d'une méthode apparentée à celle utilisée, par exemple, pour greffer les grands brûlés et qui se fonde sur la croissance des cellules de la peau des patients eux-mêmes.</p> <p>Le Prof Jöns Hilborn du laboratoire des polymères explique les grandes lignes du processus: &quot;On pratique une biopsie sur une partie saine de l'organe concerné d'environ 2 mm2, préférablement par voie endoscopique. Puis on isole les cellules et on les fait croître sur un substrat particulier, une sorte d'échafaudage qui a les mêmes qualités mécaniques que le tissu à reconstruire. Le tout va faire office de greffe sur l'organe malade. Le chirurgien pourra coudre ce tissu, formé au laboratoire, en lieu et place de la partie malade ou congénitalement absente de l’organe. Une fois que les cellules saines auront crû sur toute la surface de l'échafaudage et se seront différenciées, ce dernier se 'biodégradera' sans laisser de trace.&quot;</p> <p>Parmi les nombreux avantages de la méthode qui en font aussi la spécificité, il faut souligner le temps minimal (de 2 à 3 semaines au maximum) que requiert la culture in vitro, l'essentiel de la croissance et la différentiation cellulaire se déroulant in vivo, ce qui diminue drastiquement les risques liés à de longues périodes de culture in vitro.</p> <p></p> <p><strong>L'idée est merveilleuse<br /> <br /> </strong>Mais pour qu'elle puisse se concrétiser avec succès, autrement dit pour que la greffe &quot;prenne&quot;, médecins, biologistes et ingénieurs doivent répondre de manière adéquate à plusieurs exigences de base. Le matériau du support sur lequel poussent les cellules doit permettre leur adhésion, leur croissance et leur différenciation. Il faut naturellement que cette construction soit biocompatible, qu'elle puisse offrir les propriétés biomécaniques propres à l'organe concerné et se bio-dégrader par la suite sans sécréter de substances toxiques. Partant de ce &quot;cahier des charges&quot;, les ingénieurs de l'EPFL ont mis au point un matériau qui répond aux conditions exigées. Il s'agit d'un polymère thermoplastique biodégradable sur lequel a été sélectivement déposée une couche d’une protéine de la matrice extracellulaire comme par exemple le collagène. Ainsi modifiée, la surface offrirait aux cellules un environnement proche de celui de la nature.</p> <p><strong>Une régénération immédiate<br /> </strong><br /> Mais les chercheurs font encore face à un autre écueil. En règle générale, lorsqu'un tissu est atteint, l’organisme réagit grâce à deux mécanismes dominants, la cicatrisation et la régénération, afin de réparer la plaie. &quot;Lors de l'amputation d'un membre, explique le Prof Hilborn, la cicatrisation referme la plaie, mais ni le bras, ni la jambe ne repoussent. Ce qui n'est pas le cas pour la grenouille immature. Une patte arrachée repousse. Pourquoi ? Parce qu’ici la régénération prend le pas sur la cicatrisation. Pour les médecins, les biologistes et les ingénieurs, il s'agissait donc de tenter d’imiter cette particularité, donc d’utiliser un mécanisme qui fasse obstacle à la mise en route du processus de cicatrisation tout en permettant une régénération du tissu fonctionnel de la paroi vésicale qui s'achève par la culture, en laboratoire, des cellules de ses composants sur un échafaudage adéquat, pour un temps limité. Ensuite, on les implante dans le corps du patient où vont se poursuivre la croissance et la différenciation cellulaires contrôlées par voie naturelle. Cette paroi vésicale doit impérativement posséder plusieurs propriétés importantes telles que l’imperméabilité, la résistance au milieu agressif que représente l’urine ainsi qu’une élasticité importante.<br /> Les premiers tests cliniques pourraient être envisagés dans le courant de 2002, à condition de trouver d'ici là les fonds nécessaires au financement qui permettra la poursuite de ce projet.</p> <p>Fruit d'une intense collaboration interdisciplinaire qui a donné lieu à la formation de doctorants et à des échanges d'étudiants entre les institutions concernées, cette stratégie de recherche pourrait ouvrir un jour la voie à la réparation d'autres organes. </p>",
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            "title": "Une \"spin off\" de l'EPFL nominée pour les Sports Emmy Awards",
            "subtitle": "<strong>La société fribourgeoise InMotion Technologies a été nominée pour les 21e Sports Emmy Award. Cette &quot;spin off&quot; de l'EPFL espère remporter un prix lors de la cérémonie le 26 avril à New York avec son système d'images parallèles VideoFinish. </strong>",
            "text": "<p>Le VideoFinish a été sélectionné dans la catégorie Innovative Technical Achievement sur proposition de la chaîne de télévision NBC. Cette dernière l'a utilisé lors des Championnats du monde de ski alpin 1999 à Vail et des Championnats du monde d'athlétisme 1999. Elle a prévu d'y recourir aux Jeux olympiques de Sydney.</p> <p>Cette nomination constitue un &quot;immense succès&quot; et une &quot;reconnaissance de notre technologie par les leaders de la branche&quot;, indique le directeur d'InMotion Jean-Marie Ayer. Premier diffuseur de sports dans le monde, NBC est reconnu pour son utilisation d'effets spéciaux spectaculaires.</p> <p>VideoFinish est un système de production TV qui permet de comparer des séquences lors de retransmissions sportives. Concrètement, il superpose les images des divers athlètes dans le même environnement. Cette technologie procède à un alignement des séquences vidéo dans le temps et l'espace et les restitue en une image cohérente utilisable sur un seul écran.</p> <p>Cette superposition en une seule image est le principal avantage de cette technologie. Les systèmes d'écran partagé utilisés par le passé souffrent du fait que les deux images sont montrées sous des angles et des focales différentes, obligeant le téléspectateur à passer sans cesse de l'une à l'autre.</p> <p>Etablie à Fribourg, InMotion Technologies SA est une spin off du Laboratoire de communications audiovisuelles (LCAV) de l'EPFL créée en 1998.</p>",
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            "title": "Shrimp, la «crevette» de l'espace!",
            "subtitle": "<strong>L’Agence spatiale européenne cherche de nouveaux concepts pour l’exploration des planètes, des robots adaptés à leur environnement. «Shrimp», mis au point par deux étudiants du professeur Roland Siegwart à l’Institut de systèmes robotiques (ISR) de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) devrait retenir tout particulièrement l’attention des conquérants de l’espace.</strong>",
            "text": "<p>Il y a des projets de semestre qui vont loin, celui de Yann Crausaz et Baptiste Merminod pourrait bien «finir» sur Mars. Les deux étudiants ont en effet mis au point un robot innovateur aux jambes très souples, capable de franchir passivement des obstacles deux fois plus élevés que la taille de ses roues. Une petite révolution dans le domaine, les performances de franchissement des autres robots ne dépassent pas la moitié de celles de Shrimp! Haut comme trois pommes (25 cm), ce dernier monte et descend des escaliers sans l’ombre d’une hésitation.<br /> <br /> Un brevet est d’ores et déjà déposé et une start-up est dans l’air pour les deux diplômants qui conduisent actuellement une sérieuse étude de marché. Le destin de Shrimp a toutes les chances de déborder du cadre spatial, son concept pouvant intéresser des domaines aussi divers que l’industrie du jouet, l’agriculture, la construction ou le transport des handicapés.</p> <p><strong>Un candidat idéal pour l’espace... et la Terre!<br /> <br /> </strong>Thomas Estier, assistant à l’ISR, énumère les atouts du petit nouveau: «Deux roues directrices à l’avant et à l’arrière et deux roues montées de chaque côté sur des bogies parallèles. La roue avant a une suspension à ressorts, ce qui garantit un contact au sol optimal de toutes les roues à tout moment. Le guidage de l’engin est réalisé par la synchronisation du braquage des roues avant et arrière et de la vitesse différentielle des roues latérales. Cela permet des manœuvres de grande précision allant jusqu’à pouvoir faire tourner l’engin sur lui-même avec une perte d’adhérence minimale. Son architecture parallèle lui assure une stabilité maximale et d’excellentes capacités de franchissement même lorsque les coefficients de friction entre la roue et le sol sont assez bas. L’engin se déplace aussi bien sur des sols convexes que concaves, qu’ils soient durs ou meubles».<br /> <br /> Lors des journées Portes ouvertes du Département de microtechnique de l'EPFL, Shrimp a fait un tabac en s’attaquant à des pentes spectaculaires d’inclinaisons frontales ou latérales de l’ordre de 40°. «Quand les gens voient notre robot se déplacer, on peut dire qu’ils sont vraiment fascinés», remarquent les deux jeunes auteurs du projet. Très stable et très mobile, fiable même dans des environnements particulièrement difficiles, grâce à sa haute garde au sol combinée au contact non-hyperstatique de l’ensemble de ses roues avec la terre ferme, Shrimp est un candidat idéal au travail dans l’espace, qu’il soit de l’ordre de l’exploration ou de l’exploitation. Mais le concept mécanique mis au point et validé à l’Institut de systèmes robotiques, par la somme de ses avantages, ouvre aussi naturellement un champ très large d’applications sur Terre. Prochaine étape: équiper l’engin de capteurs qui lui permettront de mener de manière autonome plusieurs opérations. Parmi les futurs attributions possibles du nouveau robot, le Professeur Siegwart cite, entre autres, la surveillance intérieure et extérieure, le nettoyage des systèmes de climatisation, les machines de chantier, l’assistance après un tremblement de terre et même, si les senseurs appropriés voient le jour, les opérations de déminage.</p>",
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