La nouvelle direction de l'EPFL nommée par le Conseil des EPF
Le Conseil des EPF, l’organe stratégique de direction et de surveillance du domaine des EPF, a communiqué aujourd’hui la nomination des vice-présidentes et vice-présidents qui entreront en fonction au 1er janvier 2025, aux côtés d’Anna Fontcuberta i Morral.
Après la présentation de la nouvelle équipe et des discussions entre les membres du CEPF et les futurs membres de la Direction de l’EPFL, ces derniers ont validé hier à l’unanimité l’équipe proposée par la présidente désignée Anna Fontcuberta i Morral, soit quatre nouvelles personnes et deux personnes dont le mandat est reconduit.
A l’occasion de cette annonce, nous avons profité pour demander à chaque vice-présidente et vice-président son principal objectif et sa motivation.
Ambrogio Fasoli, vice-président pour les affaires académiques (VPA)
«Je me réjouis de travailler comme Provost, en étroite collaboration avec Anna. Notre but est de servir notre communauté pour qu’elle puisse atteindre l’excellence dans toutes ses activités académiques, son cœur de mission. Pour relever les défis à venir, nous devons innover à différents niveaux, y compris en expérimentant de nouvelles formes de coopération. Par exemple, une partie de nos équipes travaillera à la fois pour la présidence et pour la vice-présidence académique.»
Françoise Bommensatt, vice-présidente pour les finances (VPF)
«Dans un contexte où les investissements dans la formation et la recherche sont questionnés, il est plus que jamais essentiel de soutenir notre mission de manière innovative et pragmatique en veillant à répondre aux besoins de notre communauté et à nous adapter à l’environnement complexe dans lequel nous opérons. Je suis convaincue que nous pouvons le faire dans le dialogue et en bonne intelligence avec toutes les parties concernées.»
Edouard Bugnion, vice-président pour l’innovation et l’impact (VPI)
«En favorisant les ponts entre l’EPFL, la société, et l’économie, je veux contribuer à l’essor de l’EPFL, et ainsi à celui de la Suisse, dans un monde où être à la pointe de l’innovation technologique est capital. Toute innovation a un impact ; notre mission sera d’assurer que cet impact soit positif pour l’avenir de nos sociétés.»
Matthias Gäumann, vice-président pour les opérations (VPO)
«Exploiter et développer des campus intelligents et durables, propices à l'étude, à la recherche et à l'innovation, tout en garantissant des environnements sécurisés et en offrant des infrastructures et prestations de qualité – des bâtiments aux systèmes d’information, en passant par la restauration – est une mission de service à nos communautés qui me motive particulièrement. Avec les grands projets de construction, de rénovation et de digitalisation à venir, nos campus deviendront des lieux encore plus à la pointe, prêt à relever les défis des prochaines années.»
Stéphanie P. Lacour, vice-présidente pour le soutien aux initiatives stratégiques (VPS)
«M’investir au sein d’une nouvelle vice-présidence, la VPS, est pour moi une façon de rendre à l’EPFL les opportunités qu’elle m’a offert depuis 2011. Avec une équipe dynamique, mon rôle sera d’apporter un soutien aux initiatives stratégiques transversales, portant sur des enjeux sociétaux, économiques, scientifiques et environnementaux majeurs, tels que les technologies de la santé, les sciences des données, l’intelligence artificielle et la durabilité. Travaillant en étroite collaboration avec Anna, Ambrogio et Edouard, je me réjouis de construire cela avec les chercheuses, chercheurs, étudiantes et étudiants.»
Marianne Wannier, vice-présidente pour le développement humain (VPH)
«La création de la vice-présidence pour le développement humain reflète la volonté de l’EPFL de renforcer son engagement envers les besoins variés de la communauté EPFL. Nous placerons l’humain au cœur de nos actions, avec comme objectif d’offrir un environnement de travail sain, stimulant et inclusif. Notre ambition est que chaque personne se sente valorisée et puisse contribuer pleinement aux missions de notre École. Nos actions s’articuleront ainsi autour d’une gestion équitable des ressources humaines, favorisant entre-autre le bien-être, l'égalité des chances ou encore le développement de compétences et de carrière. Je me réjouis de cette perspective!»