L'EPFL exemplaire en matière d'égalité salariale
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L’analyse des salaires entre hommes et femmes montre que les rémunérations sont égales, à 0,1% près.
L’analyse de l’égalité des salaires à l’EPFL révèle que l’écart de rémunération entre hommes et femmes ne dépasse pas 0,1%. Au sein du domaine des EPF, c’est le meilleur résultat, sachant que l’écart dans les institutions ne dépasse pas 2% en faveur des hommes et 1,4% en faveur des femmes.
La Loi sur l’égalité (LEg) révisée est entrée en vigueur le 1er juillet 2020. Depuis cette date, les entreprises de plus de 100 collaboratrices et collaborateurs sont tenues de réaliser une analyse de l’égalité des salaires, de la faire contrôler par un organisme indépendant et d’informer leur personnel des résultats. Le Domaine des EPF a déjà réalisé de telles analyses de l’égalité des salaires avant que la loi ne l’y oblige et confirmé à chaque fois qu’au sein de ses institutions, les femmes et les hommes sont rémunérés de la même manière.
Sous le seuil de tolérance de 5%
En 2020, la société PricewaterhouseCoopers (PwC) a effectué une analyse de l’égalité des salaires auprès des institutions du Domaine des EPF à l’aide de la méthode EQUAL SALARY, une approche reconnue sur le plan tant scientifique que juridique. Cette analyse a été vérifiée par la société BDO AG en 2021. L’écart de rémunération entre les hommes et les femmes dans les institutions variait entre 2,0% en faveur des hommes et 1,4% en faveur des femmes (ETH Zurich: -1,2%, EPFL: -0,1%, PSI: -2,0%, WSL: -1,2%, Empa: -1,2% et Eawag: +1,4%). Ces valeurs sont toutes situées bien en dessous du seuil de tolérance de 5% fixé par la Confédération.