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https://actu.epfl.ch/api/v1/news/?format=api&limit=10&offset=31650", "results": [ { "id": 3395, "lang": "fr", "title": "Une « lune » d'hélium pour protéger le festival St Prex Classics", "subtitle": "<strong>L’EPFL a conçu un projet architectural spectaculaire destiné à accueillir le public et les artistes du St Prex Classics. La scène et les gradins, qui forment un vaste ensemble de bois traversant la Porte de l’Horloge, pourront être recouverts par un hémisphère flottant de 25 mètres de diamètre. Sa portée touristique dépassera le seul cadre de ce festival.<br /> </strong>", "text": "<p>Ao, le dieu des nuages de la mythologie polynésienne, fera jouer l’ombre et la lumière dans le ciel de Saint‐Prex. Car « Ao », c’est aussi le nom de code du projet architectural réalisé au sein de l’Atelier de la conception de l’espace (ALICE) de l’EPFL à l’invitation du festival culturel St Prex Classics.</p> <p><br /> Sous la conduite de Dieter Dietz, directeur d’ALICE, et avec la collaboration de plusieurs étudiants bachelor de la section, les architectes Sibylle Kössler et Sara Formery ont dessiné un espace de concerts et de danse entièrement démontable, taillé sur mesure pour épouser les formes de la Place et de la Tour de l’Horloge, porte d’entrée vers le bourg médiéval de Saint-Prex. « Ao » a été présenté à la presse aujourd’hui, peu avant le concert d’ouverture de la 6è édition du St Prex Classics. « Nous avons imaginé un espace qui met en valeur le bourg médiéval, qui transforme la Grand-Rue en un foyer convivial et animé, tout en offrant aux artistes et au public du festival un lieu de concert confortable et de grande qualité. Nous voulions aussi que ce projet jouisse d’une forte visibilité, sans toutefois toucher à la substance des anciens bâtiments », résume Dieter Dietz.</p> <p><strong>Un dôme flottant pour se protéger de la pluie</strong></p> <p>La base du dispositif, entièrement en bois, s’inspire du célèbre théâtre d’Epidaure (Grèce, 4e ou 3e siècle av. JC): il en reproduit la courbure des gradins, installés face à la Tour de l’Horloge. Jusqu’à 700 personnes pourront s’y asseoir, 500 lorsque la scène – modulaire – sera dimensionnée pour accueillir de grands ensembles instrumentaux ou des chorégraphies.</p> <p>Si la façade médiévale comprenant la Tour de l’Horloge reste l’une des pièces maîtresses du nouvel ensemble, l’élément le plus spectaculaire se trouvera toutefois au‐dessus. Un vaste hémisphère d’hélium de 25 mètres de diamètre, visible loin à la ronde, flottera à l’aplomb de « l’arène » et du village. Son enveloppe de polyamide, blanche, pourra être illuminée de l’intérieur ou servir de support de projection. En cas de mauvais temps, ce ballon pourra être abaissé pour recouvrir entièrement la scène et les gradins, formant ainsi un dôme. Une membrane transparente tirée sur le pourtour transformera alors la place en une salle de concert fermée, sans pour autant se couper des murs anciens.</p> <p>« Cette structure nous permettra de garder nos spectacles dans le Vieux Bourg tout en offrant un meilleur confort aux artistes et à un public plus nombreux. La collaboration avec l’EPFL amène une dimension architecturale qui est à la hauteur de la qualité artistique du St Prex Classics et qui met parfaitement en valeur un patrimoine historique », se réjouit Hazeline van Swaay, fondatrice du festival.</p> <p>« Ao » pourra être monté et démonté en moins d’une semaine. Seule une partie de l’équipement, dont le ballon, restera à Saint-Prex. Les structures formant la base des gradins et l’anneau technique seront loués chaque année à des entreprises spécialisées.</p> <p>Jean-Claude Mermoud, chef du Département cantonal de l’économie, a salué dans ce projet « une innovation technologique remarquable dont l'aspect spectaculaire et symbolique ne manquera pas d'attirer l'attention ». Vice-Président de l’EPFL et citoyen de Saint-Prex, Francis-Luc Perret a quant à lui souligné « l’engagement de notre Ecole, qui a la chance avec ses professeurs et ses étudiants de développer ses activités de recherche et d’enseignement dans une région bénéficiant d’un environnement culturel et social très riche et stimulant. Elle peut ainsi démontrer de multiples façons que la technologie, tout en apportant des solutions concrètes et utiles, peut aussi être empreinte d’une dimension artistique, esthétique et expressive. »</p> <p>La nouvelle structure devra pouvoir être prête pour l’édition 2012 du festival déjà. Ses promoteurs doivent pour cela réunir les fonds nécessaires, quelque 2 millions de francs, dans les plus brefs délais. Une quête qui, comme le festival, vient de démarrer.</p> <p>En attendant, à part trois concerts à l’église romane, le St Prex Classics sera hors-des-murs cette année, à la Salle du Vieux Moulin de Saint‐Prex et au théâtre de Beausobre à Morges. Des stars de la musique classique et de la danse tels que Nigel Kennedy, Philippe Jaroussky ou Aurélie Dupont porteront cette année de transition sur des airs de George Gershwin et Maurice Ravel, entre autres.</p>", "order": 6, "publish_date": null, "visual_url": "https://actu.epfl.ch/image/6336/1440x810.jpg", "thumbnail_url": "https://actu.epfl.ch/image/6337/1440x810.jpg", "visual_description": "© 2011 EPFL", "short_vimeo_video_id": "", "short_vimeo_video_credits": "", "carousel_images": [], "video": "", "channel": { "id": 189, "name": "direction", "fr_description": "Actualités de la direction de l'EPFL", "en_description": "News from the EPFL management", "de_description": "News from the EPFL management", "is_active": true }, "category": { "id": 4, "fr_label": "Innovation", "en_label": "Innovation", "de_label": "Innovation" }, "news_url": "https://actu.epfl.ch/news/une-lune-d-helium-pour-proteger-le-festival-st-pre", "themes": [ "https://actu.epfl.ch/api/v1/themes/4/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/themes/6/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/themes/7/?format=api" ], "publics": [ "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/1/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/2/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/3/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/4/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/5/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/6/?format=api" ], "faculties": [ "https://actu.epfl.ch/api/v1/faculties/3/?format=api" ], "projects": [], "authors": [], "links": [ { "label": "Dieter Dietz", "url": "http://alice.epfl.ch/" } ], "funding": "", "references": "", "is_under_cc_license": false }, { "id": 3837, "lang": "fr", "title": "L'EPFL lance un satellite à la poursuite des débris de l'espace", "subtitle": "<strong>La prolifération des débris – restes de fusées et de satellites qui ne sont plus utilisés ou qui ont été détruits – dans les orbites terrestres constitue un risque de plus en plus pressant pour les engins spatiaux et peut générer des coûts colossaux. À l’EPFL, le Swiss Space Center lance aujourd’hui le projet CleanSpace One, visant à développer et construire le premier représentant d’une famille de satellites destinés au nettoyage de ces scories.<br /> </strong>", "text": "<p>La périphérie de la Terre est encombrée de débris de toutes sortes, anciens engins hors service ou fragments de fusées et de satellites, qui tournoient à des vitesses inouïes. La NASA suit à la trace pas moins de 16'000 objets de plus de 10 cm. Le risque de collisions est avéré. Elles provoquent des dégâts considérables, voire la destruction complète de satellites, – ce qui génère à chaque fois des milliers de nouveaux débris.<br /> <br /> « Il est devenu indispensable de prendre conscience de l’existence de ces débris et des risques qu’engendre leur prolifération », déclare Claude Nicollier, astronaute et professeur à l’EPFL. Pour aller au‐delà des mots et ouvrir immédiatement le chantier d’un nécessaire nettoyage de l’espace, le Swiss Space Center, à l’EPFL, lance aujourd’hui le projet CleanSpace One, qui prévoit de construire en Suisse le premier prototype d’une famille de satellites « désorbiteurs ».<br /> <br /> Ses concepteurs veulent symboliquement lancer CleanSpace One à l’assaut du premier objet céleste suisse, le picosatellite Swisscube, mis en orbite en 2009, ou de son « cousin » tessinois TIsat, lancé en juillet 2010. Trois défis de taille attendent ce premier nettoyeur spatial. Chacun d’entre eux implique un développement technologique qui pourra par la suite être appliqué à d’autres dispositifs.<br /> <br /> <strong>Un satellite, trois défis technologiques</strong><br /> <br /> Après son lancement, il s’agira d’abord pour le satellite d’adapter sa trajectoire afin de rejoindre l’orbite de sa cible. Il pourrait pour cela utiliser un nouveau type de moteur destiné à l’espace, ultracompact, également en développement dans les laboratoires de l’EPFL. Lorsqu’il sera parvenu à proximité de son objectif, qui fonce à 28'000 km/h et à 630 ou 750 km d’altitude, CleanSpace One le saisira et le stabilisera – une mission particulièrement délicate à ces vitesses, surtout si le satellite à éliminer est en rotation. Pour l’accomplir, les scientifiques envisagent de développer un mécanisme de préhension dont le fonctionnement s’inspirerait du monde animal ou végétal. Enfin, couplé au satellite à désorbiter, CleanSpace One devra prendre la direction de l’atmosphère terrestre, où les deux satellites seront brûlés.<br /> <br /> Même si ce premier exemplaire sera détruit, l’aventure de CleanSpace One ne sera pas unique. « Nous voulons proposer et commercialiser une famille de systèmes clés‐en‐mains et conçus dans un souci de durabilité, adaptés à plusieurs types de satellites à désorbiter, explique Volker Gass, directeur du Swiss Space Center. De plus en plus, les agences spatiales devront prendre en considération et préparer l’élimination de ce qu’ils envoient dans l’espace. Nous voulons faire œuvre de pionniers. »<br /> <br /> La conception et la réalisation de CleanSpace One, ainsi que la mission proprement dite, sont chiffrées à quelque 10 millions de francs. En fonction des sources de financement et des partenariats qui seront établis, le rendez‐vous en orbite pourrait avoir lieu d’ici trois à cinq ans.<br /> <br /> <strong>A propos des débris spatiaux</strong><br /> <br /> Seize mille objets de plus de 10 cm, des centaines de milliers de plus petits, lancés à des vitesses de plusieurs kilomètres par seconde : depuis les débuts de la conquête spatiale, la périphérie de la Terre s’est retrouvée de plus en plus encombrée de débris de toutes sortes, essentiellement concentrés sur les orbites basse (moins de 2000 km, où se trouve par exemple la Station spatiale internationale ISS) ou géostationnaire (35'786 km). Beaucoup sont issus de portions de fusées ou de satellites désintégrés en orbite. En cas d’impact, ces éléments peuvent gravement endommager, voire détruire des satellites fonctionnels – le cas s’est présenté le 10 février 2009, avec l’explosion du satellite de communication américain Iridium‐33 lors de sa rencontre avec l’ancien satellite russe Cosmos‐2251. Les conséquences financières de tels accidents sont considérables en particulier pour les assurances actives dans le spatial, d’ores et déjà engagées à hauteur de 20 milliards de dollars.<br /> <br /> Les cas de collision sont appelés à se multiplier. Même dans l’immensité de l’espace, la densité des déchets d’origine humaine devient problématique. Leur croissance est exponentielle: chaque rencontre génère à son tour plusieurs milliers de nouveaux débris, plus petits, mais pas moins dangereux qu’un gros satellite abandonné. La NASA, qui recense et suit à la trace 16’000 objets célestes, ne peut garder son œil que sur les plus conséquents (plus de 10 cm) – alors qu’un simple éclat de peinture, à des de plusieurs kilomètres par seconde, peut déjà fortement endommager un panneau solaire ou le pare‐brise d’une navette. Pour éviter les plus gros débris avant qu’ils ne s’approchent à des distances critiques, la Station spatiale internationale doit régulièrement modifier son orbite. Elle vient de le faire, avec succès, le 29 janvier dernier.<br /> <br /> Selon une étude publiée par le réassureur Swiss Re l’an dernier, il y a chaque année près d’une « chance » sur 10’000 qu’un débris de plus de 1 cm rencontre un satellite de 10 m2 sur l’orbite héliosynchrone (entre 600 et 1000 km).</p> <p>Jérome Grosse, porte‐parole de l’EPFL<br /> [email protected]<br /> +41 79 434 73 26</p>", "order": 2, "publish_date": null, "visual_url": "https://actu.epfl.ch/image/7201/1440x810.jpg", "thumbnail_url": "https://actu.epfl.ch/image/7202/1440x810.jpg", "visual_description": "© 2012 EPFL", "short_vimeo_video_id": "", "short_vimeo_video_credits": "", "carousel_images": [], "video": "<embed wmode=\"transparent\" src=\"https://www.youtube.com/v/qTAv7TsnjzA%26hl=en%26fs=1%26rel=0\" pluginspage=\"http://www.macromedia.com/go/getflashplayer\" type=\"application/x-shockwave-flash\" height=\"362px\" width=\"600px\">", "channel": { "id": 189, "name": "direction", "fr_description": "Actualités de la direction de l'EPFL", "en_description": "News from the EPFL management", "de_description": "News from the EPFL management", "is_active": true }, "category": { "id": 4, "fr_label": "Innovation", "en_label": "Innovation", "de_label": "Innovation" }, "news_url": "https://actu.epfl.ch/news/l-epfl-lance-un-satellite-a-la-poursuite-des-debri", "themes": [ "https://actu.epfl.ch/api/v1/themes/4/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/themes/5/?format=api" ], "publics": [ "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/1/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/2/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/3/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/4/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/5/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/6/?format=api" ], "faculties": [ "https://actu.epfl.ch/api/v1/faculties/4/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/faculties/6/?format=api" ], "projects": [ "https://actu.epfl.ch/api/v1/projects/6/?format=api" ], "authors": [ { "first_name": "", "last_name": "", "url": "" } ], "links": [ { "label": "Volker Gass", "url": "http://space.epfl.ch/" } ], "funding": "", "references": "", "is_under_cc_license": false }, { "id": 4068, "lang": "fr", "title": "L'eau: un défi majeur au XXIe siècle", "subtitle": "<strong>POLYRAMA, le magazine d’information de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), consacre son numéro de décembre à un des défis capitaux pour notre avenir : l’eau. Enjeu économique pour les uns, redoutable arme de guerre pour les autres, voici un trésor que l’on gaspille sous nos latitudes et dont on manque cruellement ailleurs, un trésor qui s’épuise lentement sur une Terre dont le nombre d’habitants ne cesse de croître, un trésor que l’on souille et qui, de source de vie, se transforme encore bien trop souvent en signe de mort.</strong>", "text": "<p>Dans ce contexte exacerbé, que faisons-nous pour préserver cette ressource aussi indispensable que l’air que nous respirons ? Pourquoi cet enjeu, au tournant du millénaire, est devenu si crucial ? Quels sont les points les plus chauds de la planète ? A qui appartient l’eau ? Quel rôle les universitaires peuvent-il jouer pour améliorer les conditions sanitaires ? Quelles influences les changements duj climat ont-ils sur les ressources en eau ? A ces questions répondent plusieurs scientifiques de l’EPFL et d’autres institutions universitaires, mais aussi des journalistes, des ethnologues, des philosophes, des écrivains, des responsables d’organisations gouvernementales et non-gouvernementales et même un aventurier au long cours. Leur expérience et leur témoignage, tout autour du monde, nous permettent de mieux comprendre les raisons de la «grande peur de l’eau » que s’apprête à vivre notre nouveau siècle. Mais la chronique d’un désastre annoncé n’est pas inéluctable.</p> <p>Les raisons d’espérer sont réelles, mais elles impliquent, notamment de la part de la société occidentale, une prise de conscience qui se concrétise dans les faits. L’urgence est là. Le tout est maintenant de reconnaître son existence et d’agir.</p> <p>Le regard d’actualité des auteurs engagés dans ce dossier se croise avec celui, intemporel, des poètes, et l’objectif d’une vingtaine de photographes du National Geographic, témoin prestigieux et privilégié, depuis plus d’un siècle, des palpitations de la Planète.</p>", "order": 1, "publish_date": null, "visual_url": null, "thumbnail_url": null, "visual_description": "© 2012 EPFL", "short_vimeo_video_id": "", "short_vimeo_video_credits": "", "carousel_images": [], "video": "", "channel": { "id": 189, "name": "direction", "fr_description": "Actualités de la direction de l'EPFL", "en_description": "News from the EPFL management", "de_description": "News from the EPFL management", "is_active": true }, "category": { "id": 1, "fr_label": "EPFL", "en_label": "EPFL", "de_label": "EPFL" }, "news_url": "https://actu.epfl.ch/news/l-eau-un-defi-majeur-au-xxie-siecle", "themes": [ "https://actu.epfl.ch/api/v1/themes/5/?format=api" ], "publics": [ "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/1/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/2/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/3/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/4/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/5/?format=api", "https://actu.epfl.ch/api/v1/publics/6/?format=api" ], "faculties": [], "projects": [], "authors": [], "links": [], "funding": "", "references": "", "is_under_cc_license": false } ] }{ "count": 31663, "next": null, "previous": "