Le Mont-Terri, laboratoire de la capture du CO2

© 2019 EPFL

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Une étude de grande ampleur devrait permettre de mieux évaluer les risques liés à cette nouvelle technologie et de faciliter son application, défendue par beaucoup d’experts comme le Prof. Lyesse Laloui, directeur du Laboratoire de mécanique des sols (LMS) de l’EPFL.

Une étude de grande ampleur menée dans le Jura devrait permettre de mieux évaluer les risques liés à la séquestration du CO2. En apaisant les doutes autour de de certaines craintes, cette étude pourrait redonner de l’élan à de nouvelles applications autour du monde, notamment en Suisse, qui ne compte encore aucun projet de stockage réel. Une erreur, selon le Prof. Lyesse Laloui, qui vantait récemment les mérites de cette technologie dans un article précédent dans Le Temps. La séquestration du CO2 garde toutefois ses limites. Elle n’est pas une solution miracle capable de contrebalancer à elle seule le réchauffement climatique, estime sobrement Prof. Laloui, mais elle peut aider à la transition énergétique, en complément des autres énergies renouvelables.

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